Accéder au contenu principal

Pests in the Attic

It all began when my wife told me they were back. I had just come home after a busy day and was longing for a bath. Tough luck for me though, I never had the slightest chance to even stick my big toe in the hot tub.

“Are you sure?” I asked her when I saw the worried look on her face “could it have been anything else?”

She answered she was perfectly sure and began to sob. I knew she hated those rats up there in the attic. They totally freaked her out.

“I really thought we had gotten rid of them last time when the exterminator came” I said, remembering we hadn’t heard their squeaky cries or the rattle of their fights since then.

My wife begged me to go upstairs and check things out. She was worried one of those furry monsters had made it out of its sealed prison and invaded our privacy. Her privacy, that was. I knew I had no other choice if I wanted to calm her down, so I took the broom in the closet and performed a thorough investigation of the first floor. As I found nothing, I came down the stairs and was stopped right in the middle of it by a sound noise coming from the ceiling.

“You hear that!” my wife shouted hysterically, “if we don’t have pest control come here tonight, I won’t be able to sleep. You hear me Maurice?”

Maurice, I always loathed my name. I even cursed my parents once or twice only because they had been cruel enough to bless me with this stupid, french sounding, heck of a name. My wife knew perfectly how to use it and to unleash the destructive power it raised in me. Without thinking I took the phone book on the patio table and dialed the number written under the logo of the “pest patrol”. After two or three tones, someone picked up.

Commentaires

BaZaaR a dit…
Houuuu!!!

Très bon début de nouvelle! La personnalité des personnages se développe déjà et je suis déjà stressé. Le style est bon. Mais surtout, c'est le grenier qui m'intrigue!

Maurice... Quel nom quand même!J'ai toujours l'image d'un homme de 60 ans en tête. Je vais devoir m'y habituer. Par contre, avec Belladonna dans ton autre histoire tu fusionnes très bien prostitution de luxe à l'italienne et produits laitiers.

Non mais sans face, j'ai très hâte de lire la suite et j'ai voté pour Pests in the Attic!

You're number one fan,

Kathy Bates (Séb)

Posts les plus consultés de ce blog

Macchabées génétiquement modifiés - Chapitre 1

« Salope vérolée!   Ostie de chienne sale! Horrible morue putréfiée! Danseuse de bar de routiers du fond de l’Abitibi! » Non, décidément rien n’y faisait. Les insultes les plus simples comme les plus élaborées semblaient insuffisantes pour décrire la rage que lui inspirait la responsable du massacre qu’il avait sous les yeux. L’inspecteur Tessier douta même qu’il existât à travers l’univers une civilisation suffisamment avancée dans l’art du juron pour trouver les mots justes. Parfois, le vocabulaire si fleuri soit il ne suffisait tout simplement pas. Il tourna le dos au lit d’hôpital et ses yeux tombèrent sur un autre spectacle désolant. À travers la fenêtre grise de la chambre d’hôpital,  les nuages déversaient des hordes de trombes grises sur la vallée de l’Outaouais dont le sol gorgé se parerait bientôt d’une épaisse toison estivale. Les gouttes tombaient comme des kamikazes pissés par le ciel sur la terre. « Geronimo! » murmura l’inspecteur pensif...

Livre d'Or (Extrait Choisi)

Chaque année le cycle revient, chaque année de pauvres hères insouciants viennent se faire occire sous ce toit. Ils disparaissent sans laisser de traces, sans éveiller le moindre soupçon. Les forces de police de Nola sont forcément complices, ne leur faites pas confiance! Ne soyez pas les prochains! Quand vos proches viendront poser des questions, Ils diront que c'est la ville qui vous a envoutés puis engloutis. Facile pour eux de blâmer une cité qui n'a ni dents ni ongles. Les choses inanimées ne peuvent pas plus protester contre une fausse accusation qu’elles ne peuvent nourrir de noirs desseins. Ce sont les êtres qui tuent...

Le Caprice de Timothée Laforteresse (Extrait Choisi)

Il essuya ses yeux, touché par la candeur et l'attention spontanée que lui témoignait l'enfant. Ce faisant, il remarqua qu'elle observait ses mains couvertes de peinture et de larmes. Il les leva à la hauteur de son visage pour qu'elle puisse les examiner à loisir. - Vous aimez la peinture, Tim? - C'est mon métier, ma passion mais aussi et surtout, la cause de mon désarroi. - Vraiment? Lui demanda Lucie curieuse. Et que peignez-vous? Des portraits? Des paysages? - Non, des caprices.  Confronté à la moue dubitative de la petite, le peintre élabora. Un caprice, expliqua-t-il, était un savant mélange de réalité et de fiction, un tableau utilisant comme toile de fond un décor le plus souvent citadin et emblématique auquel se mêlaient des éléments oniriques issus de l’imagination de l’artiste. L’italien Canaletto avait été l'un des maîtres incontestés de la discipline avec Venise comme cadre de prédilection. Quant à Timothée, c’était des endroits connus ...