Le monde est un autobus bondé qui fonce à cent à l’heure vers un mur de béton armé. Nous sommes les passagers, nos dirigeants auxquels nous avons sciemment confié le volant sont tous ivres de pouvoir et nous, nous fermons les yeux pour nous protéger du choc inévitable… qui arrive. Sommes-nous incapables de tirer un quelconque enseignement du passé, sommes nous condamnés à oublier et à répéter sans cesse les mêmes erreurs? Nous autres, êtres humains, ne disposons pas tous du minimum nécessaire pour vivre. Le luxe, représentant ce que l’on peut s’offrir lorsque l’on dispose de ce minimum, en tant qu’espèce, nous ne devons nous en permettre aucun. Ceux qui le font sont des criminels. Ils continuent malgré tout d’abuser de richesses excessives, amassées, et que rien hormis l’estime surfaite qu’ils ont d’eux-mêmes ne justifie. Ceux-là même qui se demandent s’ils vont acheter le bateau à cinquante millions plutôt que celui à quarante cinq millions et demi, sans se soucier de leurs semblable...