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The English corner

Sit down, relax and open your eyes. There are several things here that my curiosity would like to show you. Start with this freshly laid Sci-Fi short story dressed with bizarre creatures. Now let go of it (you can have seconds later if you want), and try the first chapter of my new novel. If you taste and more importantly if you like, do not hesitate to ask for more...

Below and for your entertainment are excerpts of my writing. You may easily guess that English is not my first language but I do try really hard to make my English stories as good and as structured as my French ones. I hope you'll enjoy them and if you have editing skills that I could benefit from, please feel free to contact me and we can have a chat.


A tale of Ocelot (2016)
Melanie White - Book II (2012)
Legend of Scipio (2012-2015)
Melanie White - Book I (2009-11)
Pests in the Attic (2005)

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Pests in the Attic

It all began when my wife told me they were back. I had just come home after a busy day and was longing for a bath. Tough luck for me though, I never had the slightest chance to even stick my big toe in the hot tub. “Are you sure?” I asked her when I saw the worried look on her face “could it have been anything else?” She answered she was perfectly sure and began to sob. I knew she hated those rats up there in the attic. They totally freaked her out. “I really thought we had gotten rid of them last time when the exterminator came” I said, remembering we hadn’t heard their squeaky cries or the rattle of their fights since then. My wife begged me to go upstairs and check things out. She was worried one of those furry monsters had made it out of its sealed prison and invaded our privacy. Her privacy, that was. I knew I had no other choice if I wanted to calm her down, so I took the broom in the closet and performed a thorough investigation of the first floor. As I found nothing, I

Le Caprice de Timothée Laforteresse (Extrait Choisi)

Il essuya ses yeux, touché par la candeur et l'attention spontanée que lui témoignait l'enfant. Ce faisant, il remarqua qu'elle observait ses mains couvertes de peinture et de larmes. Il les leva à la hauteur de son visage pour qu'elle puisse les examiner à loisir. - Vous aimez la peinture, Tim? - C'est mon métier, ma passion mais aussi et surtout, la cause de mon désarroi. - Vraiment? Lui demanda Lucie curieuse. Et que peignez-vous? Des portraits? Des paysages? - Non, des caprices.  Confronté à la moue dubitative de la petite, le peintre élabora. Un caprice, expliqua-t-il, était un savant mélange de réalité et de fiction, un tableau utilisant comme toile de fond un décor le plus souvent citadin et emblématique auquel se mêlaient des éléments oniriques issus de l’imagination de l’artiste. L’italien Canaletto avait été l'un des maîtres incontestés de la discipline avec Venise comme cadre de prédilection. Quant à Timothée, c’était des endroits connus

Darwinator, Prologue

Les rues de Montréal, au froid soleil d'avril, miroitaient d'éclaboussures dégoulinantes et de flaques de sloche noire salée. Les trottoirs marrés d'embûches ressemblaient à un champ de bataille où le piéton imprudent se voyait livré à une collection de dangers à géométrie et conséquences variables allant d'une simple chaussure inondée à une chute sévère pouvant s'avérer mortelle. Partout, la peau blanche de l'hiver avait entamé sa déliquescente décomposition, une putréfaction répugnante qui réjouissait la majorité des badauds. Marc-André Tessier, lui, n'y trouvait aucun réconfort, aucune poésie. Il ne partageait ni ne comprenait l'engouement délirant des gens pour cette saison, humide et froide, où l'air vicieux semblait s'être donné pour unique mission de s'immiscer par la moindre échancrure, vous transperçant la chair jusqu'aux os pour dérober votre chaleur la plus intime. "Saleté de printemps", maugréa-t-il en relevant